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Jo-Wilfried Tsonga : « On s’est fait braquer par des pirates »

Invité sur notre chaîne YouTube, Jo-Wilfried Tsonga s’est livré sur les moments marquants de sa carrière. Il a également raconté des anecdotes insolites sur ses dix-huit ans passés sur le circuit.
Jo-Wilfried Tsonga était le premier invité de notre série Youtube "Dans les yeux". (Youtube/Univers Tennis) Jo-Wilfried Tsonga était le premier invité de notre série Youtube "Dans les yeux". (Youtube/Univers Tennis)
Jo-Wilfried Tsonga était le premier invité de notre série Youtube "Dans les yeux". (Youtube/Univers Tennis)

Pour le premier épisode de notre nouvelle série YouTube « DANS LES YEUX », où les figures du tennis se livrent sans détour, Jo-Wilfried Tsonga s’est prêté au jeu. L’ancien n°5 mondial a notamment évoqué plusieurs anecdotes marquantes : entre pirates, militaires russes et péripéties inattendues, sa carrière n’a jamais manqué d’aventures.

Braqué par des militaires russes

La vie sur le circuit peut être imprévisible, notamment quand on est jeune et que l’on joue sur le circuit secondaire, sans coach. Le Lyonnais a raconté une mésaventure qui lui est arrivée après avoir remporté le tournoi de Togliatti :

« J’avais 18 ans, j’étais tout seul, pas de coach, rien. J’ai eu un problème de visa. Les militaires de l’aéroport sont venus, ils m’ont braqué avec des kalachnikov. Je leur disais que mon visa était périmé de quelques heures, mais ils ne voulaient pas me renvoyer et il fallait que j’aille chercher un visa ailleurs. J’étais à Togliatti, à 5 heures de Moscou en avion. J’avais gagné le tournoi, j’étais tout content en plus de rentrer. »

Les pirates de Jamaïque

Toujours dans le registre des mésaventures hors du court, Tsonga a partagé une histoire incroyable survenue en Jamaïque : « On s’est fait prendre par des pirates des mers en Jamaïque. On jouait des Futures là-bas. En fin de tournoi, tout le monde avait perdu, on a pris des jet-skis pour faire un petit tour. On s’est fait braquer par des pirates des mers et on a dû leur donner tout notre argent. »

Les galères du tennis

L’ancien finaliste de l’Open d’Australie a également partagé les galères du circuit secondaire, comme dormir dans des aéroports :

« J’ai dormi dans des aéroports, avec ma copine de l’époque. Entre deux tournois, parfois on n’avait pas les moyens de se payer un ticket de plus. Dormir dans l’aéroport pour attendre le bon vol… Il y en a plein des trucs comme ça. Le tennis, avant d’arriver dans le Top 50, c’est que des galères », a-t-il conclu.

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